Le Parchemin du bonheur

Explication des 12 étapes pour accéder au bonheur

parchemin du bonheur

Étape 1 : Aime-toi.
Il est impossible de donner ce que l’on ne possède pas.
Par exemple, si un ami dans la rue te demande de le dépanner de 100€ et que tu ne les as pas sur toi, tu ne peux pas les lui donner !
C’est la même chose dans notre vie.
On ne peut aimer quoi que ce soit si on ne s’aime pas soi-même.
Expliquons-nous : nous sommes le centre de tout ce qui nous entoure, de tout ce que nous percevons, sentons, entendons.
Nous sommes le centre de notre monde, de notre vie.
Notre ressenti dépend de notre orientation spirituelle (spirituelle et mentale).
Si nous avons des pensées sombres, notre perception de tout ce qui nous entoure sera négative.
En revanche, si nous sommes joyeux et heureux, nous aurons une vision positive de tout ce qui nous concerne.

Comment pourrions-nous aimer honnêtement nos proches, tout ce qui nous entoure, ce que nous faisons, ce qui nous concerne si nous ne nous aimons pas nous-mêmes ?
Cela n’est tout simplement pas possible.
On peut seulement « bien aimer », mais dire « j’aime bien » n’équivaut pas à dire « j’aime » !
Si nous ne nous aimons pas, il nous est impossible d’aimer autre chose.
Au contraire, nous allons nous juger, nous trouver tous les défauts du monde, nous rabaisser, nous humilier, nous infliger des choses pas terribles et nous punir.
En général, nous ne nous faisons pas de cadeau, que ce soit consciemment ou inconsciemment.
Si nous n’avons pas d’amour en nous, nous allons chercher cet amour ailleurs pour combler ce vide, trouver l’amour en l’autre, ce qui nous rendra dépendants de l’autre pour ne pas perdre cet amour.
Et si par malheur l’autre n’est pas exactement comme nous le voudrions, c’est le drame !

Il est essentiel de prendre conscience que nous sommes tous des émetteurs-récepteurs, conformément à l’une des lois de la création, la loi d’attraction des genres identiques, comme le dit le proverbe « qui se ressemble s’assemble ».
On est attiré ou l’on attire à soi ce qui nous ressemble !
Cela signifie que lorsque nous ne nous aimons pas, nous émettons une énergie qui dit : « je ne m’aime pas », comme si une grande pancarte au-dessus de notre tête proclamait : « Faut pas m’aimer, je suis nul(le), je ne suis rien, je suis un, une poissarde, je ne mérite rien, punissez-moi, maltraitez-moi ».
Voilà ce qui se passe quand on ne s’aime pas.
C’est pourquoi il est crucial de s’aimer, sans toutefois tomber dans l’égocentrisme ou le narcissisme.
Il faut prendre conscience que nous sommes et vivons ce que nous avons choisi de vivre et d’être dans cette incarnation.
Nous sommes donc parfaits pour cette incarnation et vivons ce qui est parfait pour nous, quelles que soient les choses ou les événements que nous avons choisis.
Ils sont forcément parfaits pour nous, pour nous aider à grandir et à avancer sur le chemin de la vie ou dans nos différentes incarnations.

Le hasard n’existe pas.
Quels que soient les événements qui nous arrivent, nous aurons toujours quelque chose à en apprendre, à en comprendre, et cela pour nous faire grandir.
C’est bien souvent dans la douleur et les épreuves que l’on se remet en question et que l’on sort grandi de ces épreuves.
Alors, transforme-toi en profondeur, aime-toi, et ton monde changera positivement !

Étape 2 : Garde bien propre le foyer de tes pensées.

Cette phrase est de Philippe de Lyon, dit « Maître Philippe »:
« En vérité, je vous le dis, gardez bien propre le foyer de vos pensées ».
Vous ne pouvez pas imaginer à quel point le fait d’avoir des pensées négatives impacte votre vie, votre santé, et bien plus encore.

Pourquoi ?
Retenez simplement ceci : lorsque vous en voulez à la terre entière, à quelque chose ou à quelqu’un en particulier, et que vous avez des pensées négatives envers eux, sachez qu’en réalité, c’est à vous que vous faites le plus de mal !!
Nous sommes responsables de nos pensées et de leurs conséquences.
Il faut savoir que chaque pensée émise va droit au but, à la personne pour qui elle a été envoyée.

Compréhension des pensées : Nous sommes toujours reliés à nos propres pensées, soumises à un effet boomerang appelé « Loi de réciprocité », c’est-à-dire qu’elles reviennent !
D’où l’expression « On récolte ce que l’on sème… »
En effet, nous restons liés à toutes les pensées que nous émettons, bonnes ou mauvaises, et à un moment ou à un autre, nous subirons la loi de réciprocité positive ou négative !
Les pensées émises se dirigent vers la matière fine (la matière que l’on ne peut voir avec les yeux) et, en fonction de leur puissance, elles sont attirées par des pensées similaires ou les attirent.
Cela explique l’expression : « qui sème le vent récolte la tempête ».
En effet, les pensées grossissent par cet effet d’attirance (« loi d’attraction des genres identiques ») et forment ensuite un égrégore ou une sorte de centrale de négativité qui revient dans la matière dense à son émetteur, qui doit récolter ce qu’il a semé….

Il est très difficile de lutter contre ses mauvaises pensées.
Je trouve cela bien trop dur et, de toute façon, tôt ou tard, elles nous emmènent quand même.
Donc, je préfère détourner mon esprit d’elles.
Pour cela, j’applique une méthode toute simple : dès que je sens que les mauvaises pensées arrivent, je me répète intérieurement une petite phrase très positive, et je fais cela à chaque fois.
Si vous essayez, vous verrez qu’au bout d’un moment, cela devient systématique, et de ce fait, la mauvaise pensée passe sans que je m’y intéresse !
Au bout d’un moment, au lieu d’être assailli par ces pensées négatives, vous verrez qu’il n’y en aura presque plus.
Voici quelques phrases à utiliser :
« Paix, Amour, Lumière » « Je vis en paix dans l’amour et la lumière »
Utilisez les mots qui vous parlent et vous apaisent, le résultat sera là !

Étape 3 : Ne fais pas de suppositions.

C’est le 3ème accord toltèque de Don Miguel Ruiz, tiré de son livre :
 « Les Quatre accords toltèques ».
Je vous invite donc à vous procurer cet excellent et utile petit ouvrage qui vous apportera beaucoup !

Lorsque nous faisons des suppositions, nous pensons à la place de l’autre ! Cependant, nous ne sommes pas l’autre.
Donc, si vous voulez savoir quelque chose, posez des questions et vous aurez des réponses.
Sinon, vous risquez de vous créer un scénario mental, prenant ce film élaboré de toutes pièces par votre esprit pour la réalité et la vérité, alors qu’en fait, vous n’en savez rien ; vous supposez et inventez !

De plus, cela risque de créer des pensées négatives, avec toutes les conséquences que cela entraîne !

 

Étape 4 : Que ta parole soit toujours impeccable.

C’est le premier accord toltèque de Don Miguel Ruiz, tiré de son livre : « Les Quatre accords toltèques ».
 Je vous invite donc à vous procurer cet excellent et utile petit ouvrage qui vous apportera beaucoup !

Ne dis pas de mal des autres, sauf à le leur dire en face, sans utiliser de mots blessants.
Lorsque l’on dit du mal, on y pense avant, car la pensée précède la parole ou l’acte.
Comme nous l’avons vu précédemment, le fonctionnement des pensées négatives a des conséquences importantes.

De plus, le fait d’utiliser des mots négatifs ou de mal parler de quelqu’un crée une forme de magie noire, car la parole, tout comme les pensées, a un pouvoir et va droit au but.
Parfois, une parole peut être plus blessante qu’un coup de poing et influencer la vie d’une personne.
Imaginez ce que cela peut entraîner avec la loi de réciprocité !

Donc, en faisant attention aux mots que l’on emploie au quotidien, on évite de se charger négativement et de s’attirer des ennuis.
On ne retirera que du positif en ayant une parole impeccable !
Voici un poème de Victor Hugo intitulé « Le Mot », que je vous invite à lire et à méditer.

Braves gens, prenez garde aux choses que vous dites !
Tout peut sortir d’un mot qu’en passant vous perdîtes.
TOUT, la haine et le deuil !
Et ne m’objectez pas
Que vos amis sont sûrs
Et que vous parlez bas…
Écoutez bien ceci :
Tête-à-tête, en pantoufle,
Portes closes, chez vous, sans un témoin qui souffle,
Vous dites à l’oreille du plus mystérieux
De vos amis de cœur ou si vous aimez mieux,
Vous murmurez tout seul, croyant presque vous taire,
Dans le fond d’une cave à trente pieds sous terre,
Un mot désagréable à quelque individu.
Ce MOT – que vous croyez que l’on n’a pas entendu,
Que vous disiez si bas dans un lieu sourd et sombre –
Court à peine lâché, part, bondit, sort de l’ombre ;
Tenez, il est dehors ! Il connaît son chemin ;
Il marche, il a deux pieds, un bâton à la main,
De bons souliers ferrés, un passeport en règle ;
Au besoin, il prendrait des ailes, comme l’aigle !
Il vous échappe, il fuit, rien ne l’arrêtera ;
Il suit le quai, franchit la place, et cætera
Passe l’eau sans bateau dans la saison des crues,
Et va, tout à travers un dédale de rues,
Droit chez le citoyen dont vous avez parlé.
Il sait le numéro, l’étage ; il a la clé,
Il monte l’escalier, ouvre la porte, passe, entre, arrive
Et railleur, regardant l’homme en face dit :
« Me voilà ! Je sors de la bouche d’un tel. »
Et c’est fait. Vous avez un ennemi mortel.

Dans le monde des paroles, il est essentiel de comprendre que les pensées précèdent souvent les paroles prononcées.
Cette réalité s’applique non seulement aux mots exprimés à voix haute mais également aux pensées qui circulent silencieusement dans notre esprit.
Tout comme les paroles ont le pouvoir de créer, d’influencer et de façonner notre réalité, les pensées négatives peuvent avoir des conséquences significatives.

Par conséquent, il est crucial de reconnaître que l’énergie de nos pensées peut se manifester dans nos paroles et, par extension, dans nos actions.
Les pensées négatives, si elles ne sont pas traitées, peuvent générer des paroles néfastes qui contribuent à la création d’une atmosphère néfaste autour de nous.

Pour éviter cela, nous pouvons appliquer les trois passoires, une méthode réfléchie avant de parler. Avant de laisser une pensée négative se transformer en paroles destructrices, passons-la à travers ces passoires mentales.

Le test des trois passoires

Socrate avait, dans la Grèce antique, une haute réputation de sagesse. Quelqu’un vint un jour trouver le grand philosophe et lui dire:

« Sais-tu ce que je viens d’apprendre sur ton ami? » 

– Un instant, répondit Socrate, avant que tu ne me racontes tout cela, j’aimerais te faire passer un test très rapide.

Ce que tu as à me dire, l’as-tu fais passer par le test des trois passoires ?
– Les trois passoires ?
– Mais oui, reprit Socrate. Avant de raconter toutes sortes de choses sur les autres, il est bon de prendre le temps de filtrer ce que l’on aimerait dire.
C’est ce que j’appelle le test des trois passoires.

La première passoire est celle de la vérité.
As-tu vérifié si ce que tu veux me raconter est vrai?
– Non, pas vraiment. Je n’ai pas vu la chose moi-même, je l’ai seulement entendu dire…
– Très bien ! Tu ne sais donc pas si c’est la vérité. Voyons maintenant.

Essayons de filtrer autrement, en utilisant une deuxième passoire, celle de la bonté.
Ce que tu veux m’apprendre sur mon ami, est-ce quelque chose de bien ?
– Ah non ! Au contraire ! J’ai entendu dire que ton ami avait très mal agi. – Donc, continua Socrate, tu veux me raconter de mauvaises choses sur lui et tu n’es pas sûr si elles sont vraies. Ce n’est pas très prometteur !

Mais tu peux encore passer le test, car il reste une passoire, celle de l’utilité.
Est-il utile que tu m’apprennes ce que mon ami aurait fait ?
– Utile ? Non pas réellement, je ne crois pas que ce soit utile…

-Alors, de conclure Socrate,
si ce que tu as à me raconter n’est ni vrai, ni bien, ni utile, pourquoi vouloir me le dire ?

Je ne veux rien savoir et, de ton côté, tu ferais mieux d’oublier tout cela !

Étape 5 : Ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu’on te fasse.

Essayez de vous remémorer la situation où vous n’avez pas appliqué cette maxime, ou tout simplement vous avez subi la non-application de cette maxime envers vous.
Aimeriez-vous que l’on vous manque de respect, que l’on vous mente, qu’on vous manipule, qu’on vous haïsse, qu’on vous exploite, qu’on vous prenne pour une grosse merde, qu’on vous ignore, que l’on vous frappe, qu’on vous fasse du mal, qu’on vous vole, etc., etc.?
La réponse est NON, bien entendu.
Donc, cela coule de source : ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas que l’on te fasse !

Cette étape nous rappelle l’importance de l’empathie et de la considération envers autrui.
En se mettant à la place des autres, on réalise que les actions blessantes ou irrespectueuses ne sont pas ce que l’on souhaite pour soi-même.
Appliquer cette maxime signifie respecter le droit des autres à être traités avec dignité, compréhension et gentillesse, tout comme nous le désirons pour nous-mêmes.
C’est une invitation à cultiver des relations saines, fondées sur le respect mutuel et la bienveillance.

Étape 6 : Accepte tous les ennuis qui t’arrivent, tu en es le seul responsable.

Accepter tous les ennuis qui nous arrivent, c’est reconnaître que nous en sommes les seuls responsables.
En adoptant cette perspective, nous ouvrons la voie à la recherche de solutions et à la croissance personnelle.

Cela implique d’admettre et de comprendre que nous sommes à la source de tout ce qui nous arrive, même depuis des décennies ou dans d’autres incarnations, où intentionnellement ou non, nous avons provoqué ce qui nous est arrivé, conformément à la loi de réciprocité.

En cherchant sincèrement, nous pouvons trouver les racines de nos ennuis, du moins pour cette incarnation.
Reconnaître notre responsabilité dans les événements qui jalonnent notre vie est le premier pas vers une compréhension profonde de nous-mêmes et de nos choix.

La non-acceptation des ennuis rend la vie encore plus difficile, car elle nous place dans une position de subir plutôt que de véritablement vivre.
En acceptant notre responsabilité, nous prenons le pouvoir de changer, d’apprendre et de grandir.
C’est un acte de courage et de lucidité qui ouvre la porte à un chemin plus éclairé et à une vie vécue avec plus de conscience.

Étape 7 : Lâche prise, ne fais pas une affaire personnelle de tout ce qui t’arrive.

« Ne fais pas une affaire personnelle de tout ce qui t’arrive » est le 2ème accord toltèque de Don Miguel Ruiz, tiré de son livre : « Les Quatre accords toltèques ».
Je vous invite donc à vous procurer cet excellent et utile petit ouvrage qui vous apportera beaucoup !

Le lâcher prise avec « ne fais pas une affaire personnelle de tout ce qui t’arrive » est étroitement lié.
Le lâcher prise est plus facile à dire qu’à faire réellement !
Cependant, il devient plus accessible lorsque nous avons sincèrement accepté tout ce qui nous est arrivé.

Le non-lâcher prise consiste à s’accrocher à des désirs, pensées, rêves, pour lesquels on est loin d’avoir tout fait pour qu’ils se réalisent positivement.
Pour y parvenir, il faut sortir de l’orgueil et de la vanité, cesser de tout ramener à nous-mêmes, de nous trouver si importants que chaque chose nous concerne forcément.

Lâcher prise, c’est laisser glisser les choses sur nous, arrêter de tout prendre pour soi.
C’est reconnaître que tout ne tourne pas autour de nous et que certaines choses ne sont pas personnelles.
Cela permet de libérer de l’énergie mentale, émotionnelle et physique, en évitant de s’encombrer inutilement avec des préoccupations qui ne sont pas essentielles à notre bien-être.
C’est une étape vers la paix intérieure et l’harmonie avec soi-même et le monde qui nous entoure.

Étape 8 : Pardonne aux autres comme à toi-même.

Savoir pardonner !
Le pardon est le plus puissant des médicaments.

Pour parvenir à pardonner réellement, il faut avoir franchi deux étapes : l’acceptation et le lâcher-prise.
Dans la non-acceptation, il y a comme un mur que l’on se dresse devant soi pour se donner une bonne excuse.
L’humilité est une fusée qui nous permet de nous alléger physiquement et psychiquement.
Pardonner réellement nous donnera la sensation d’avoir perdu un poids de 50 kg que l’on traîne depuis des années sur notre dos !

Tant que l’on ne pardonne pas, on est relié par une chaîne invisible à la personne qui nous a blessés.
Cette chaîne empêche la blessure de cicatriser et nous empêche d’être pleinement heureux.
C’est comme si on avançait avec un boulet attaché à notre cheville.
Ce boulet peut tellement être lourd qu’il va blesser notre corps et nous priver des bonnes choses qui se trouvent sur notre chemin de vie, par la souffrance intense de la blessure.

Pour pardonner, il n’est pas obligatoire d’avoir la ou les personnes concernées devant soi, ni de leur faire un courrier, même si c’est très bien de le faire !
Il suffit de penser aux personnes concernées et, le plus honnêtement possible, avec votre cœur, présentez vos excuses aux personnes que vous avez pu blesser en leur demandant de vous pardonner pour vos pensées, paroles ou actes négatifs envers elles.

Vous devez aussi pardonner aux personnes qui vous ont fait souffrir, car cela a une raison.
Même si l’on ne le comprend pas toujours, chaque chose ou événement a sa raison d’être : loi de réciprocité, retour karmique, expérience de vie, etc.

Il est aussi très important de se pardonner à soi-même.
Parfois, on agit ou réagit sans comprendre vraiment pourquoi on a été comme cela.
On a été repoussé dans nos retranchements ou poussé à bout, car une personne nous renvoyait un de nos défauts ou une image inversée pour nous ramener à une blessure oubliée, entre autres.
Cela nous a fait agir ou réagir négativement sous le coup de l’émotion ou du choc.
Il faut donc savoir aussi se pardonner de ne pas être parfait en toute circonstance et d’agir parfois de manière inappropriée.
Pardonnons-nous !

« Je vous présente mes excuses les plus sincères et je vous demande de me pardonner, tout comme je me pardonne aussi » – voilà le genre de phrase que vous pouvez utiliser pour faire vos pardons.
À vous de trouver la vôtre, mais excusez-vous, pardonnez aux autres et à vous-même.
Vous en retirerez un grand bénéfice si vous le faites sincèrement, honnêtement et dans l’amour !


Étape 9 :
Aime ton prochain comme toi-même.

« Aimer son prochain comme soi-même » ne nous demande pas d’aimer la terre entière.
Cela ne serait ni évident ni même possible, mais aimer son prochain revêt une importance particulière.
En effet, notre prochain est la personne que nous allons croiser dans notre vie.
Sommes-nous capables de l’aimer autant que nous devons nous aimer ?

L’autre…
Souvent, l’autre est le reflet de soi-même.
Une personne qui nous énerve nous renvoie souvent à l’un de nos défauts.
Généralement, ce que l’on reproche à l’autre est un défaut que nous avons nous-mêmes.
L’autre devient un miroir dans lequel nous pouvons voir nos défauts à corriger.

L’autre peut aussi nous envoyer une image inversée, c’est-à-dire que ce n’est pas le reflet de ce que nous sommes dans notre comportement ou d’un de nos défauts, mais le reflet de quelque chose qui nous a fait souffrir.
C’est qu’en soi, se trouve une faille, une ou des blessures non cicatrisées.

Il faut essayer de voir dans l’autre, quel qu’il soit, l’esprit qui sur terre joue un rôle pour faire des expériences.
Il faut donc aller au-delà de ce que l’on voit pour réussir à considérer l’autre comme un esprit et ainsi appliquer : « aimons-nous les uns les autres ».

Si déjà tout le monde arrive à faire cela autour de soi, dans sa famille, à son travail, etc., le monde ne s’en porterait que mieux !
Aimer son prochain comme soi-même, c’est un appel à la compréhension, à la tolérance et à la bienveillance envers ceux qui croisent notre chemin sur cette terre.

 

Étape 10 : Prends soin de ton corps.

Respecter son corps, c’est aussi se respecter soi-même ; c’est prendre soin de soi et s’aimer.
Notre corps est notre véhicule pour nous déplacer et agir dans la matière.
C’est un peu comme notre voiture, si on ne l’entretient pas comme il faut, elle tombe en panne !
Et bien, notre corps, c’est pareil.
Si on mange n’importe quoi, si on ne fait pas un minimum d’exercice physique, si on ne prend pas soin de lui, il tombera en panne, et à notre niveau, cela s’appelle la maladie !

Pour éviter cela, il faut adopter une hygiène de vie :

  • Ne pas fumer ou arrêter de fumer.
  • Bouger tous les jours (loi du mouvement, une des lois de la création).
    Peu importe ce que vous choisirez : marche, footing, natation, sport en club ou en salle.
    Faites-le à votre rythme et en fonction de votre âge.
    Même des petites tâches quotidiennes comme le ménage, les repas, téléphoner, lire (mouvement cérébral) sont bénéfiques.
    Il faut faire travailler son corps et sa tête tous les jours !
  • Boire au moins 1,5 litre à 2 litres d’eau par jour.
    Choisissez une eau avec moins de 60 mg/L de résidu, chauffée à sec à 180°.
    L’eau doit éliminer les toxines de notre corps et non en ajouter. L’eau est le meilleur des médicaments et ne coûte pas cher.
    C’est la deuxième nourriture terrestre !
    Attention, le manque d’eau provoque la déshydratation, qui a de nombreuses conséquences fâcheuses et handicapantes.
    Une personne déshydratée sera beaucoup plus sujette à la négativité !
  • Prendre le temps de manger et bien mâcher.

    Ne dit-on pas : « Avoir un esprit sain dans un corps sain » ? Alors, prenez soin de votre corps !

Étape 11 : Évite les négatifs, amuse-toi et ris le plus souvent possible.

Éviter les personnes négatives quand on le peut, ne pas les fréquenter ou les ignorer au maximum.
Cela peut paraître bizarre d’écrire cela, mais j’ai longtemps pensé que l’on pouvait élever les personnes négatives, les aider à avancer dans leur vie, leur montrer le chemin.
Cependant, avec le temps, je dois me rendre à l’évidence que ce n’est pas possible.
On ne peut aider une personne contre sa volonté, et généralement, pour les négatifs, les problèmes ne viennent jamais d’eux, mais c’est toujours la faute des autres.

Je m’explique : vous pouvez faire tout ce que vous voulez à n’importe quel niveau, vous aurez des résultats tant que vous travaillerez sur la personne, mais dès que vous arrêterez, cette personne redeviendra comme avant.
Chassez le naturel, il revient au galop !
De plus, j’ai remarqué que fréquenter des personnes négatives rend négatif, car elles entraînent les autres vers le bas.

Maintenant, si quelqu’un de négatif vient vous demander de l’aide, alors il faut tout mettre en œuvre pour l’aider le plus sincèrement possible en lui donnant toutes les clés pour pouvoir avancer positivement dans sa vie.

Il y a sûrement beaucoup de vérités, chacun aura la sienne, mais ce que je sais, c’est qu’il n’y a qu’un seul chemin : celui de la positivité, de l’élévation spirituelle et de l’amour !

S’amuser et rire le plus souvent possible est très important.
En effet, le rire est un antidote naturel contre le stress.
Lorsque l’on rit, on sécrète des endorphines, des hormones ayant des propriétés antalgiques.
Elles réduisent la production d’adrénaline et de cortisol générés par le stress.
Rire nous permet de bien oxygéner notre cerveau et est un relaxant musculaire.
Et surtout, c’est naturel et gratuit !

Étape 12 : Fais toujours de ton mieux.

Faire toujours de son mieux est le 4e accord Toltèque de Don Miguel Ruiz, tiré de son livre « Les Quatre accords toltèques »
Je vous invite donc à vous procurer cet excellent et utile petit ouvrage qui vous apportera beaucoup !

Il est évident que l’on ne peut pas être toujours au top ; tout le monde a des hauts et des bas, personne n’est parfait !
Alors, plutôt que de se juger et se punir en permanence parce qu’on n’a pas réussi à faire comme on aurait voulu, ou de nous énerver, acceptons simplement le fait que nous sommes perfectibles !
Ayant pris conscience de cela, faisons toujours tout ce que nous faisons de notre mieux, ainsi nous n’aurons pas de culpabilité !
Et si jamais nous loupions quelque chose, eh bien, recommençons en faisant toujours de notre mieux.